Utiliser pleinement le BIM5D grâce à la méthode FlexBIM5D
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Comment mieux anticiper les coûts et délais de construction dès la phase de conception ?
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Comment optimiser l’organisation et la coordination d’un projet de construction ?
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Comment éviter les incohérences de construction ?
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Comment impliquer tous les acteurs de la construction au bénéfice du projet ?
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Comment améliorer la communication entre tous les acteurs de la construction ?
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Vous vous reconnaissez dans l’une de ces situations ?
Vous êtes au bon endroit pour trouver réponse à ces questions !
Conscient autant du potentiel du BIM5D que des réticences que cette méthode de travail collaborative peut engendrer, Stéphane LE ROY a développé une méthodologie de chiffrage en BIM5D. Cette méthode se veut innovante, intuitive et, surtout, accessible à tous les acteurs de la construction, du maître d’ouvrage à l’entreprise de bâtiment, en passant par la maitrise d’œuvre.
FlexBIM5D, une méthode de classification …
Les différents bénéfices de la démarche BIM ne sont accessibles qu’à condition de bien maîtriser la méthodologie de classification et de partage, de disposer de données interopérables et de solutions logicielles et numériques adaptées.
La démarche BIM consiste à centraliser sur une base de données, représentée par une maquette numérique partagée, l’ensemble des caractéristiques des objets d’une construction, caractéristiques techniques, fonctionnelles, financières. Pour être accessible à tous les acteurs de la construction, cette base de données se doit d’adopter un langage commun permettant d’identifier chaque objet de façon unique et non ambiguë, ce que permet la codification.
Ce qu'il faut retenir
Un système de classification assure :
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une compréhension univoque et globale du projet
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un gain de temps dans le traitement de l’information
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une fluidité dans la communication et la coordination des intervenants, de la programmation de l’ouvrage à son exploitation, en passant par sa conception et sa réalisation
C’est pour vous faciliter l’accès à tout ce potentiel que FlexBIM5D a conçu une méthode de chiffrage en BIM5D. Cette méthode flexible, comme son nom l’indique, favorise la mise en place d’un langage commun à tous les intervenants, et adapté à leur métier respectif, basé sur un système de codification universelle par fonction (niveau 3 UNIFORMAT II – 2015 et niveau 4 FlexBIM5D).
Se fiant à l’expertise de Stéphane LE ROY en matière d’environnements BIM, FlexBIM5D propose une base de données préconçue, regroupant une bibliothèque de métiers génériques (26 corps d’états), une bibliothèque de compositions et des jeux de règles d’automatisation, et évolutive pour s’adapter à chacun de vos projets.
Cette méthode de classification des objets vous donne une base pour le chiffrage de tout projet de construction, dès la phase de conception.
Ce qu'il faut retenir
Entre la classification UNIFORMAT II – 2015 et la base de données de métiers génériques ainsi développée par FlexBIM5D, vous disposez d’un chiffrage par :
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classification : sommaire des coûts avec ratios
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composition : coûts et ratios de chaque fonction
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métier : DPGF, DQE, ratio
FlexBIM5D, une méthode de classification accessible à tous …
Les différentes dimensions du BIM facilitent la prise de décision et la réalisation de l’ouvrage dès sa phase de conception. En prenant en compte les éléments géométriques, les propriétés de chaque objet, ainsi que les délais et coûts y étant associés, la gestion de projets de construction en mode BIM5D apporte une aide à la conception, à la consultation et à la réalisation des travaux.
Les diverses analyses et simulations que permet la maquette numérique 3D, via de l’intelligence artificielle et des données cloud, assurent une maîtrise des coûts et des délais des projets de construction de toute taille.
Par son caractère collaboratif, le travail en BIM 5D assure une mise à jour en temps réel des modifications faites à la conception, facilitant d’autant la coordination et la communication entre les différents intervenants : maitrise d’ouvrage, maitrise d’œuvre, entreprise de travaux, exploitant de l’ouvrage.
En phase de conception (ESQ – APS – APD – PRO), la maitrise d’ouvrage, la maitrise d’œuvre et les entreprises du bâtiment ont intérêt à utiliser la méthode FlexBIM5D pour bénéficier d’une estimation des coûts des travaux à travers la maquette numérique. Travailler en BIM5D dès cette phase permet d’optimiser ces coûts de construction et d’accompagner la prise de décision.
La bibliothèque métiers intégrée à la méthodologie FlexBIM5D facilite, également, la phase de consultation (DCE – ACT). Un chiffrage par métier aide à la constitution des DPGF et à l’analyse des offres des entreprises.
Mise à jour des marchés signés avec les entreprises, la base de données réalisée avec la méthode FlexBIM5D simplifie le suivi financier et technique du projet de construction lors de la phase travaux (EXE – DET – DOE).
Une fois le bâtiment construit, ses exploitants profitent encore du potentiel du travail en BIM5D en pouvant maîtriser les coûts d’exploitation, de maintenance, de réhabilitation, voire, de démolition.
Ce qu'il faut retenir
Ce suivi technique, économique et financier, accessible à tous en temps réel, profite à chaque intervenant au projet de construction.
FlexBIM5D, une méthode de classification accessible à tous
pour estimer le coût d’une construction
À partir d’une description sommaire du projet de construction, la méthodologie FlexBIM5D vous permet d’établir une base de données sur DeviSOC, servant elle-même de base pour modéliser le projet sur un logiciel de CAO.
Vient ensuite l’export en IFC et l’import dans JustBIM pour opérer le travail de classification de la maquette numérique. C’est le moment où peuvent être intégrées les compositions, variantes et autres options.
Un nouveau passage par DeviSOC permet d’établir les estimations budgétaires par classification et par métiers, exploitables notamment via Trimble Connect.
Envie de mieux comprendre le vocabulaire du BIM, c’est par ici !
Cet écosystème BIM5D est une véritable aide à la prise de décision et au suivi des travaux, à condition de disposer de données interopérables et de plateformes collaboratives compatibles. De plus, pour profiter pleinement de ce potentiel, un accompagnement et/ou une formation sont particulièrement utiles.